Guy Boucher et Châtelaine – Devant le Juke-Box
(T. Springfield/C. Carrère/J. Plante)

(G. Boucher )
Près de chez moi l’autre soir
Je me trouvais par hasard
Devant le juke-box
Devant le juke-box (Châtelaine)
Quand j’entendis tout à coup
Une chanson que j’aimais
J’aimais beaucoup

Pour l’écouter à nouveau
Je cherchais son numéro
Devant le juke-box
Devant le juke-box (Châtelaine)
Mais sans m’en laisser le temps
Une fille voulut me passer
Passer devant

(G. Boucher – Châtelaine) :
Permettez c’est à moi – à moi
Pourquoi ? – pourquoi ?
Parce que – parce que
Allons – allons
Voyons – voyons
Mais non – mais non
Mais si
Vraiment c’est un peu fort – oui fort
Alors – alors
Que faire ? – Que faire ?
Misère – misère
Tant pis
Eh puis, on s’est souri !

(G. Boucher)
Je me suis donc effacé
Et je l’ai laissée passer
Devant le juke-box
Devant le juke-box (Châtelaine)

( Duo )
Sans hésiter un instant
Nous avons en même temps
Choisi la même chanson
Que justement nous aimions
Et comme nous étions heureux
On a dansé tous les deux
Devant le juke-box

Comme on se connaissait mieux
On a bavardé un peu
Devant le juke-box
Devant le juke-box
Et l’on voulut tour à tour
Se choisir une jolie chanson d’amour

(G. Boucher – Châtelaine) :
Permettez c’est à moi – à moi
Pourquoi ? – pourquoi ?
Parce que – parce que
Allons – allons
Voyons – voyons
Mais non – mais non
Mais si
Vraiment c’est un peu fort – oui fort
Alors – alors
Que faire ? – Que faire ?
Misère – misère
Tant pis
Eh puis, on s’est souri !

( Duo )
Nous ne pouvions nous quitter
Longtemps nous sommes restés
Devant le juke-box
Devant le juke-box
Et comme on s’entendait bien
Nous nous sommes dit à demain
Et c’est depuis cet instant
Que l’on s’est revu souvent
Nous nous souviendrons toujours
Que l’on s’est connu un jour
Devant le juke-box !